Style de combat : >
rien n'est plus ipnotisant que leur danse mortelle, l'agneau bondit et déclame des poéme d'un autre temp qui vous traverse l'ame, tout leur sens se ressant jusq'au dans nos os lorsqu'il sont dit par celui qui annonce la fin. ces bond d'une grace rare le rende encor plus irréle, tout cela ne semble qu'un jeux, et cela en serait un si chaque bond n'était ponctué d'une plui de trait pure qui ne manque jamais leur cible. autour de cette étrange beauté se trouve l'essence de la brutalité, une forme noir qui réclame des proi, ne cherchant qua tuer, réclmant des proi et des crie, dessus lorsque la tuerie s'arrete. rien ne lui plait plus que les crie de terreur, chaque hurlement ériger au rand de symphonie a ces oreilles.

barfil, le miraculé de la bataille des trois colines




dans une sombre foret, a la lisiere de freeljord se trouver une cabane isolé, dans cette nuit sans lune les fenetre laisser voir le feux qui brulait dans l'atre de la cheminé pour réchauffé l'habitat dans cette nuit d'hiver. une épaisse couche de neige était tombé pendant la journé, formant un manteau immaculé aussi loin que portait la vision des deux personne qui vivait la. un homme au corp maigre qui gratait ça barbe blanche en lisant un livre , un des plus grand érudit de ce monde, un piltovien qui avait lue les livre les plus rare et interrogé les plus ancien dans le but de savoir qu'elle était les vrai divinité, et répondre a la grande question que tout etre vivant se pose sur la mort. l'autre un noxien taillé comme un chéne malgrès son age, entrain de lustrer un antique fusile. c'était un illustre chasseur, qui a défait les plus grande bete et sauvé bien des voyageur des croc d'un monstre affamé, toujour dans le but de connaitre le frisson des dernier instant.

ces deux hommes ce sont connue il y a des lustre, bien que tout les opose et que leur chamaille soit continuelle un lien d'amitié les unissait.  tout deux avait pris leur retraite dans ce petit cabanon, vivant du potager de l'érudit et du gibier du chasseur.  ce dernier jeta un regard par la fenetre un chose semblait bouger lorsque sont compagnon lui demanda qu'elle était cette chose il repondit perplexe  je ne sais pas , mais malgrès la distance j'ai l'impression d'entendre comme des plumes sur de la neige fraiche...

je sent de la peur, je peux aller le chasser?

non mon chair loup,  il on le droit de choisir leur fin  et tu le sais très bien. quelle affamé qu'est mon compére, il ne sais meme pas savourer l'instant que nous allon vivre, nous chassons deux homme qui on eu une belle vie, et qui est mieux placer que nous pour leur ofrir un depart digne de leur oeuvre?

la peur et plus présente cette maison, il sont la, il save que nous sommes la, sont il prèt? dans tout les cas mes croc n'attende qu'une chose, car peut importe leur avis tout ce termine ici.

n'est pas de telle pensé mon bon loup, une si belle neige, comme un couette qui recouvre tout. meme la nature veux leur offrir une fin digne, il serait si dommage que nous tachion ce teint immaculé par du sang.

moui moui, enfin ce nait pas un bete manteau qui vas assouvir ma faim.